La prédation des chats est étudiée par les scientifiques et nécessitent de réaliser des appareils.
Ainsi, les outils embarqués tels que des caméras ou des systèmes d’acquisition de données (« bio-logger ») équipés d’accéléromètres (et de magnétomètres), peuvent permettre d’obtenir un relevé des proies capturées, tuées et consommées. Ces divers outils permettent d’acquérir des données y compris quand l’animal n’est pas directement observable (ex. espèces nocturnes ou cryptiques, Boyd et al., 2004).